Rencontre sur la colline

Lotis, avançait à son aise sur les terres d' un clan ennemi, le clan de la foret. L' étalon vadrouillait sur une colline verdoyante, sous un ciel dépourvut de nuage. Il monta la pente de la colline et s' arreta au sommet, observant les alentours. Tout n' était que verdure. Lotis ne vit personne dans les parages. Il était seul. Le jeune cheval observait l' immence étendue verte qui se dressait devant lui, le regard dépourvut de sentiment. Il se sentait bien, et il avait une vue imprenable sur le territoire du clan de la foret. Mais, il ne fallait pas trop se dispersé. Il s' était aventuré sur les terres de ses ennemis et n' importe qui pouvait surgir de n' importe quand. Mais qu' importe, si on l' attaquait, il se défendrait et il gagnerait sans doute! Il respira profondément l' air frais et ferma ses yeux quelques instants. Doucement bercé par un vent léger.

Lotis fit volte face! Un cheval venait de hennire! Il scruta attentivement les alentours et aperçut une jument qui galopait . Il lui lança un regard assassin et lui lança d' un ton sec et non chalant:
" Qui es-tu, toi?! "
Il se dressa de toute sa hauteur, et fixa la jument. Elle n' était pas du clan de la neige, sa, c' était évident. Etait-elle du clan de la foret? Sa, c' était fort possible. Lotis la regardait toujours, mais ne relachait pas la vigilence. Elle n' était peu etre pas seule. Il se cabra et frappa violement le sol en redscendant. Il n' avait pas peur de cette jument et il le lui faisait savoir. Il n' avait pas peur de grand chose, d' ailleurs. Son regard était menaçant, toujours en direction de la jument.

Mélopé arriva au grand galop. Voyant Maïka discuter avec un ennemis, elle redoubla d'ardeur.
Arrivée devant ce cheval, elle lui cracha :
File d'ici, en vitesse. Tu es sur notre territoire !
Elle se cabra, laissant son instinc sauvage l'emporter.
Tu n'es pas du clan de la forêt, d'où viens tu ? Je préfére te prévenir, nous savons nous battre.Maintenant, fiche le camp ! Tu n'as rien à faire ici !
Puis elle le fixa dans les yeux, attendant qu'il détourne son regard .

Désirée arriva au galop,il n'y avait pas un seul nuage!
La jument regarda les chevaux.Elle reconnut se de son clan et vit un cheval
qu'elle ne conaissait pas.La guerrière fixa ce cheval et finit par dire:
Qui es tu?Que fais tu sur nos terres?Elle jeta un regard amical à Maïka.
Et ajoute:Je ne pense pas que tu vas nous attaquer mais j'aimerais que tu partes!
Ou sinon dit nous qui tu es et que veux tu.
La jument blanche regardait l'êtalon et se dit *Il est beau pourquoi est il notre ennemis...*
Elle soupira.

Lotis vit arriver deux autres chevaux. Des chevaux du clan de la foret. Ils se mirent à lui parler. Le cheval laissa échapper un petit rire de satisfaction et se contenta de répondre:
" Oh, mais voila des renfors. Pfff, je ne vous penser pas asser faibles pour vous mettre à trois contre un! "
Il observa un à un les trois chevaux devant lui. Il n' avait pas l' intention de se laisser faire par trois juments, et encore moins de partir. Il terminerait se qu' il avait commencer, peut importe ce que pensait ce clan. Un sourire sadique se lisait clairement sur ses lèvres. Il se redressa d' avantage, sa crinière était légèrement balancée par le vent. Il regardait toujours les chevaux. Ils n' étaient vraiment pas du tout térrifiants et ne l' impressionnaient pas. Ils faisaient meme peine à voir. L' étalon ne bougeait pas d' un poil. Le regard meurtrier, le poitrail en avant, il attendait la moindre réaction d' une des trois juments.

Désirée piaffa un peu et regarda le cheval du clan de la neige.Elle n'aimait pas ce moment .
*Devrait elle attaquer?*Cette question la chiffoner...Elle entendu son adversaire dire:

" Oh, mais voila des renfors. Pfff, je ne vous penser pas asser faibles pour vous mettre à trois contre un! "

La jument blanche a ces mots éclater et laissa ses mots sortire:


"Nan mais oh!Y a que moi qui vas attaquer!Les autres veulent juste que tu partes!*

Maintenant la pur race espagnol savait elle devait combattre seul!
Mais d'un coter elle êtait déçu pourquoi avait elle dit ça.
Elle pensa pendant quelque seconde: *C'est le moment,je dois me battre pour mon clan!*

La jument s'approcha du cheval, elle tourna au tour de lui et lui morda le poitrail!
Désirée ne s'arrêta pas la pur race lui donna aussie un coup de sabot dans son antérieure.
Et pour finire la jument blanche se cabra!

Lotis n' était pas impréssionner par cette jument blanche. Elle commença à l' attaquer en le mordant et en lui donnant de vulgères coups de sabots. Pour finir, la jument se cabra devant lui. L' étalon murmura:
" Pitoyable..."
Il se jetta sur elle alors qu' elle cabrait encore, l' attrapa à la gorge, referma la machoir et la jetta violement sur le sol.
" Tu te crois maligne? Sais-tu seulement à qui tu as à faire? J' ai remarquer que beaucoup de chevaux craignaient instinctivement le clan de la neige. Tu en as toi du culot pour osé me montrer les dents! "
Il s'approcha de la jument qu' il avait mise à terre et lui soufla à l' oreille:
" Je ne suis pas venue pour tué ni combatre aujourd' hui, à mon grand regret. Mais si tu t' interposes, je n' attendrais pas d' avoir la permission de mes dominants pour te tué. Tu m'as compris? "
Il fit demi-tour et se replaça où il était. Tournant le dos aux juments, il continuait d' observer le territoire ennemi.

Voyant l'étranger du clan de la neige se remettre à sa place, Mélopé se contint, mais lui dit :
Que veux tu ? Nous sommes peut-être des juments, mais des mâles font aussi partie de clan de la forêt, prets à accourir ! Si tu ne t'en va pas, il pourrait s'ébruitter que l'un des membres du clan de la neige rode et ne veut pas quitter notre territoire... Imagine un peu l'effet... Maintant, va t'en avant que nous nous bations. Désirée à voulu se battre avec honneur seule, mais je suis prête à me battre à 2 ou 3 si cela pouvais te faire partir. Ouste !
Puis, elle piaffa d'impatience, désireuse de mener une bataille...

Désirée n'abandonna pas elle se releva et lui attaraper le cou!Elle resta le plus longtemps possible.
Puis la jument relacher le cou de son adversaire.Celui ci avait maintenant le cou en sang elle lui dit:
"Je ne vais pas te tuer!Je veux juste me vanger!*
La jument blanche partit loin de Lotis.Elle ne voulait plus se batte de toute façon ça ne servait a rien le cheval vas partire.Elle chercha le guerisseure de son clan,mais elle ne le trouva pas .
*Aucune chose d'autre a faire il faut que je continue a cherche le guerisseur!*
La jument partit au petit trot.

L' étalon éclata de rire!
" Tu crois sérieusement que quelques chevaux de ton clan sufirons à me faire partir? C'est tellement amusant de vous voir réagir comme sa, tu n' imagines meme pas! "
Puis, la jument blanche revint à l' attaque et lui morda le cou. Il la repoussa d' un puissant cou de tete et la frappa d' un bon coup de sabot. Ce qui l' amusa d' avantage. Ce simple clan pensait vraiment pouvoir le vaincre. Il se remit à rire. Mais il ne bougeait toujours pas. Cet endroit lui plaisait bien. Et il comptait bien y rester plus longtemps, qu' il y ai des chevaux où non. Ce n' était pas interdis de visiter les territoires de ses bons vieux ennemis. Il fixait maintenant une autre jument. Le regard de psycopathe posé sur elle. Voir des chevaux aussi tétues le faisait rire et il se sentait bien, avec ses juments qui voulaient malgré tout lui tenir tete. Reste à savoir si elles y arriveraient.

Mélopé gronda. Il n'allait pas être facile de se contenir et de débarasser la plaine de ses sales sabots !
J'entendre répondre l'avait énervé, mais, bon, à qui pourrais elle reprocher d'être tétu?
Mais là, il allait trop loin ! Elle rageait, bouillait, mais ne bougeait pas.
Elle allait céder quand un souvenir, lui rapella qu'il valait mieux attendre.
Ce territoire était leur, pourquoi s'inquiéter ?
Un référence, un message à son suppérieur, et ce serait fini.
Il lui plaisait de moins en moins; lui...

Lotis regardait Mélopé du coin de l' oeil. La voir bouillir de rage et ne pas réagir était extrèment divertissant. Lotis prenait beaucoup de plaisir à etre ici. Rien que de voir la tete des chevaux du clan de la foret, il ne regretta pas d' etre venue. Il tourna entièrement le dos aux deux juments qui étaient restés et regardait l' étendue verte du territoire. Il commençait à prendre conscience du terrain, et ceci deviendrait un avantage en cas de combat. Voila la raison extacte de sa venue. Faire du terrain un atoue pour facilité les combats et connaitre les petits secrèts du clan. Il avait hate de rentrer dans son propre territoire toute fois. Mais il avait l' intention de rester encore un bon moment ici. Puis il repensa aux juments. Elles étaient toujours là. Lotis hésita à provoquer les juments, mais se rappela qu' il n' était pas là pour combattre. Puis, il finit par leur dire :
" Je vais terminer ma visite de la colline, mais ce n' ai pas pour sa que je vais partir. Si vous me dérangés, je n' hésiterais pas à vous le faire payer. Je ne suis pas là pour me battre, mais ce n' ai pas l' envie qui me manque. Alors, tenez vous à carreau, c'est clair? "
Il avait envie de voir comment elles allaient réagir, mais commença à avancer.

Ce furent les mots de trop.
Mélopé voyait bien qu'il aimait à la voir bouilir de rage, mais elle avait résisté. Là elle n'y teint plus, elle s'élança sur lui, un hennissement de haine montant de sa gorge.
Elle se cabra, et lança:
Ce que tu dis, tu ne le pense pas ! Tu est un membre du clan de la neige, des menteurs. Puisque tu n'es pas là pour te battre, fais moi le plaisir de partir. Sinon, attaque nous franchement ! Code de l'honneur ou non, tu sera en faute, alors, à quoi bon ? Alors ?
Et impatiente de se battre, elle attendit.

La jument avait envie de se battre. Lotis en mourrait d' envie également, mais, il n' en avait pas eut l' ordre et voir la réaction des chevaux des autres clans était plutôt satisfaisant. Si quelqu'un' devait commencer à attaquer, se ne serait pas lui, mais elle.
" Qu' est ce qui te fais croire que je mens? Je te l' ai déjà dit, je n' ai pas l' intention de partir. Dû moins, pas pour l' instant. Et évite de jouer avec mes nerfs. Ce n' ai pas l' envie de t' attaquer qui me manque, seulement, je n' ai pas reçut cet ordre. Si tu souhaite tellement me combattre, vient me chercher. "
Il ne devait pas combattre, mais il pouvait se défendre. Ce serait considérer comme-t-elle si ce n' ai pas lui qui attaquait le premier. Il passa devant Mélopé comme si elle n' était pas devant lui et commença à faire le tour de la colline. Il avançait d' un pas lent mais assurer.

Mélopé ne devait pas attaquer, elle ne devait pas l'attaquer.
C'était ce qu'il attendait, elle n'allait pas tomber dans le piège. Son piège .
Cependant, c'était tellement tentant... Se jeter sur lui, coup de sabot, coups de dents, se cabrer et surtout, blesser ni trop ni trop peu, quel bonheur ...Mais à quoi pensait elle ? Il ne falait pas, pas du tout !
Lotis avait beau être arrogant, il n'en demeurait pas moins un cheval, à respecter qui plus est.
Elle devait se calmer, se maitriser car à la moindre remarque, elle déborderait ...

Lotis la regarda du coin de l' œil. La voir se maitriser à ce point l' enchantait. Dans les deux cas, sa l' arrangeait. Si elle l' attaquait, il se serait défoulé à cœur joie, si elle ne le faisait pas, il pourrait rester ici en toute tranquillité. Le clan de la forêt était bien étrange. Lotis ne pensait pas avoir à faire à cette complication. Il était sadique, mais pas au point de ne pas réfléchir. Lotis calcule chacune de ses actions, et ne laisse rien au hasard. Il fit en partie le tour de la colline, observant les moindres recoins. Il avait assez énervé le monde pour aujourd'hui. Il se trouva un petit coin bien vert et décida de décompresser. Il s' allongea. C' était bien imprudent de sa part, mais Lotis se remis en tête une stratégie si il était surpris. Il ferma les yeux.

Quand Mélopé le vit s'allonger au sol, sur un tapis de mousse (un de ses préférés), elle n'y teint plus.
Consiente de tomber dans un piège, Mélopé l' attaqua.
Elle partit au galop, songeant avec délice au bruits de ses os, puis hésita. Fallait-il le tuer pour ça ? D'accord, il était sadique, d'accord ils était ennemis, mais...
A quoi pensait elle ? C'était Lotis, du clan de la neige, des fourbes, un des plus dangereux chevaux de ces terres ! Pourquoi le prennait-elle en pitiée ?
Sachant qu'elle allait le payer, elle se cabra, retomba au sol, ébranlant ce dernier.
Lèves-toi ! Je vais le regretter, mais je t'offre de me combattre à la loyale. A moins que tu ingore le sens de ces mots... Allez, attaques-moi ! cracha-t-elle.

L' étalon soupira et tourna la tete, son répit n' avait été que de courte durée. Rester calme ces quelques instants, l' avait légèrement apaiser. Mais pas assez pour faire passer sa soif de sang.
" Il faudrait savoir ce que tu veux. Et puis, pourquoi me défier, alors que tu sais que me combattre te seras peu etre fatal. Tu sais probablement te battre, mais as-tu déjà tué qui que se soit? Et de toute manière, je ne t' attaquerais pas, du moins, je ne porterais pas le premier coup. "
Il parlait calmement, tout en se relevant. Il se mit face à Mélopé, à une distance raisonnable. Allait-elle vraiment l' attaquer? Allait-il la tuer si elle le faisait? Elle jouait avec sa vie. Courage ou folie? Le chef guerrier se le demandait.

En face de Mélopé, Lotis réfléchissait. Elle en fit de même. Quel rang occupait-il, au sein du clan de la neige ?
Peut-être bien chef guerrier. Quelqu'un ayant de l'expérience, certainement une bonne méthode, aucune répugnance à tuer. A la tuer. Et une grande envie de voir couler son sang. Elle, assez inexpérimentée - quoique sérieuse adversaire, elle en avait consience-, sans réelle envie de lui faire du mal, juste qu'il quitte son territoire, quitte à se venger plus tard.
Non, le combat serait par trop d'aspects ingégal... Elle aimait les batailles, mais n'étais pas suicidaire - au moins, pas à ce point-.
Pourquoi ne pas quitter notre territoire ? Le sénario est pourtant simple : tu pars maintenant et nous nous quittons en bon am... en ennemis,se ratrappa-t-elle.
Nous aurons d'autre ocasions de nous battre, ne t'en fait pas, j'y veillerais. Mais pas ici, en territoire neutre. Choisi, et vite !

L' étalon ne bougea pas. Mélopé commençait sérieusement à l' énervé. Elle ne savais vraiment pas ce qu' elle voulait! Elle reprit la parole:
"Pourquoi ne pas quitter notre territoire ? Le sénario est pourtant simple : tu pars maintenant et nous nous quittons en bon am... en ennemis"
Elle lui demandait encore une fois de partir. Elle n' écoutait rien de ce qu' il disait! Et de plus, elle a faillit lui dire qu' il était son ami!! Elle poursuivit:
" Nous aurons d'autre occasions de nous battre, ne t'en fait pas, j'y veillerais. Mais pas ici, en territoire neutre. Choisi, et vite ! "
Lotis sentit une rage profonde monter en lui. Voila qu' elle marchandait! Il fit un pas en avant, frappant ses sabots sur le sol recouvert de mousse, arrachant une touffe de verdure, et lui lança d' un ton non chalant:
" Tu es sourde ou tu le fais exprès!? Je ne partirait pas! Tu comprends ma langue!? "
Il était en rage et fusillait la jument du regard.

Mélopé le regarda, choquée. Personne n'avait jamais osé lui parler sur ce ton !
Bien, je vois que tu es un peu lent de la comprenette, le provoca-t-elle, moqueuse, alors, je récapitule : tu es sur notre territoire,à nous, le clan de la forêt. Donc, à moins que tu n'ai changé de clan, tu n'a rien à faire ici ! Alors, soit tu pars, mais ça, tu es trop têtu pour le faire, soit tu reste mais tu te bats ! Contre moi, bien que cela soit risqué pour moi, bien sûr, mais ça, ce sont mes affaires, à moi. Tu comprends ? A moins, bien sûr, que tu ne préfère ne pas te déshonorer, toi, Lotis du clan de la neige, en te battant contre une pauvre jument, défendant son territoire ? Du clan de la forêt, qui plus est !
Sur ce, elle lui laissa l'opportunité de réfléchir, en s'éloignant de quelques pas. Puis vivement, elle fit demi-tour et le toisa, un sourir provocateur sur les lèvres. Elle s'interrogea enfin sur les raisons que Lotis avait d'aller sur ce territoire. Peut-être l'herbe, l'ombre ? Non, il était bien trop rusé, ça ne pouvait pas être ça. La belle position ? C'est vrai que d'ici, on avait une belle vue, surtout sur ... le territoire, justement !
Bon sang, mais bien sûr, il était venu en éclaireur !
Non, il n'oseraient pas ! se surprit-elle à murmurer Ils sont fourbes mais pas à ce point là ! C'est impossible ! Comment pouvaient-ils croire que nous passerions à côté ?
Mais maintenant qu'elle y pensait, elle aussi, elle avait faillit se faire berner ! Cette intrusion était loin d'être innofensive. Cela n'était pas un cheval enbêtant - bon, d'accord, il y avait de ça - mais c'était toute une tactique !
Presque une délaration de guerre.
Quand elle le comprit, elle trembla encore plus fort .

Lotis vit la jument tremblé. Elle avait surement compris la raison de sa venue et se qui allait suivre. Elle le provoquait. Elle avait vraiment l' air de vouloir se battre, mais ne voulait pas attaquer la première.
"Tu trembles. Le clan de la neige te réduira en poussière, toi et ton clan. Nous avons de bonnes bases militaires et beaucoup de puissance. Je comprendrais que tu es peur."
Un sourire de psychopathe se dessina sur ses lèvres. Il fit un pas en avant. Gratta le lit de mousse sur lequel il s' était allongé, arrachant les plantes, laissant des bottes de terre. Il regarda la jument.
" Je ne partirait pas. Si tu veux vraiment me faire partir, il faudra me combattre."
Il parla d' un ton menaçant, ses yeux brillaient. On y lisait la passion du sang et le plaisir de la souffrance. Il leva ses sabots les uns après les autres et les planta un à un dans le sol. Il attendit que la jument réagisse. Elle n' avait aucune chance de le battre. Ce cheval avait été élevé pour la guerre, faire coulé le sang à flot, enlevé la vie, faire souffrir... Aucune joie, aucun amour, aucun respect. C' était sa, la vie de Lotis. Son univers. Sa passion. Rien ne lui faisait plus plaisir que de voir ses victimes le dévisagé avant qu'il ne leur offre le coup fatal, lisant dans leurs yeux la haine, la peur, la douleur. C' était un pur moment d' extase. Lotis cessa de rêvasser. Il devait se concentrer, et ne pas repenser aux combats du passé. Il était prêt à affronter la jument. Oserait-elle seulement l' approché, le regarder dans les yeux, se regard, qui en disait long sur son passé.

Mélopé leva les yeux... Elle fut horrifiée par ce qu'elle y vit. Une haine farouche, une cruauté immense mais surtout, une horrible soif de sang. Mais elle souteint ce regard... Il lui rappelait celui de son père, la même haine brûlait dans son regard.
Comme je te plains... lui chuchotta-t-elle, désarçonnée par ces souvenirs.
Je ne suis là pour me battre, je ne le veux pas... Peux-tu le comprendre ? dit elle d'une voix douce.
Jamais je ne pourrais tuer quelqu'un de sang froid, moi.
Mais pourquoi ton clan veut-il nous exterminer ?demanda-t-elle.
Puis, reprennant ses esprits, elle anonça avec vigueur :
Alors Lotis, serais-tu d'accord pour débarasser le plancher, une bonne fois our toute ? Sinon, en vrai étalon, attaque moi !

" Tu es faible. Trop faible. "
L' étalon n' était pas impréssionné par ses belles paroles. Il répondit tout de meme à sa question:
" Le clan de la neige est simplement le meilleur. Le monde n' a pas besoin de faibles tel que vous. Il n' y a de place que pour un seul maitre. Si tu refuses de me combattre, alors je n' ai plus rien à te dire "
La jument avit l' air d' etre sugmergé par un raz-de-marée de souvenirs. Se sont normalement les petits poulains qui ont se genre d' atitude. Mais il était souvent comme cette jument, à repensé au passé. D' ailleurs, elle avait l' air assez jeune. Elle devait avoir à peu pret son age. Et comme lui, elle était certainement une guerrière. Mais lui était le chef guerrier du clan de la neige. Vu son manque d' expérience dans la matière, elle devait venir d' un autre monde que celui de Lotis. L' étalon laissa échappé cette question:
" Où est ta maman? Où est ta maman, Mélopé? "
Il n' avait pas put se retenir. Il compris que cette question était malsaine, et qu' elle lui ferait peu etre du mal. Il s' approcha d' un pas. Il se demandait comment elle allait réagire. Peu etre très mal, ou peu etre qu' elle resterait innofensive. De toute manière, Lotis ne saurait pas se qu' elle resentirait. Il n' avait jamais resentit la moindre tristesse, seulement de la haine et de la colère. Les seules joies qu' il avait resentit, était la joie d' achevé ses victimes lors des combats. Pfff, à quoi bon de pensé à ce qu' elle resentirait, il s' en fichait bien. Il fit demi-tour, tournant le dos à Mélopé, et continua d' observé le territoire. Il était venu pour sa.